Escenografia / Scénographie

, par  Teresa Dalmau , popularité : 10%

:un-d El vestuari dels personatges femenís

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Les costumes des personnages féminins.

Menestrala

Femme d’artisan.

Caraco à petites basques en soie brochée à manches trois quart, jupon piqué en taffetas noir, tablier en toile imprimée à la planche, fichu en dentelle, coiffe de mousseline avec dentelle et ruban de soie (reconstitution), clavier en argent avec ciseaux.

Menestrala.

Cosset amb faldonets de seda brodada i mànigues tres quarts, faldilla de piqué de tafetà negre, davantal de tela estampada a la planxa, manteleta de puntes, còfia de musselina amb puntes i cinta de seda, clauer de plata amb estisores.

Les femmes des maîtres artisans avaient un niveau de vie très convenable qui leur permettait se vêtir de soie, avec un habillement aux formes toutefois traditionnelles.

Les dones dels menestrals tenien un nivell de vida desfogat que els hi permetia de vestir’se de seda, tot i que els vestits eren de formes tradicionals.

Moda al s.XVII

La moda dels nobles i cortesans.

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La mode des nobles et courtisans.

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À partir de 1650, le costume tourne le dis à la sobriété du règne de Louis XIII. Sous Louis XIV apparaît la rhingrave. Il s’agit d’une culotte dont les jambes sont très larges avec de nombreux plis. Cette pièce est tellement large qu’elle ressemble à une jupe ; la rhingrave est garnie de dentelles et de boucles de ruban très abondantes. Sur les souliers, les roses succèdent à des nœuds en ailes de moulin. La rhingrave atteint son maximum en largeur en France, en Allemagne et en Angleterre alors que l’Espagne paraît ne pas être influencé par cette mode.

Après 1680, ces haut-de-chausses bouffants deviennent de moins en moins larges jusqu’à devenir collants.

Le pourpoint se raccourcit et s’ouvre sur le devant pour laisser entrevoir entre celui-ci et les chausses la chemise portée bouffantes. Les manches sont très courtes. Le costume est surchargé de garniture (notamment de bouclettes de ruban appelées petites oies). Puis le justaucorps[6] fait son apparition et se porte sur la veste. La veste, anciennement appelé le pourpoint, est un vêtement de dessous. Le devant et les manches de la veste sont en riche tissu et le dos en étoffe commune. Avec le temps, la veste se réduit en longueur et perd ses manches pour devenir le gilet.

Le chapeau est en feutre et empanaché, mode suivi dans la rue avec une plume de faisan en garniture[7].

Segle XVII

Cap a 1630 la moda masculina pren un aire gairebé militar amb gipons i botes altes de cuir, amb una espasa al costat i i bigoti marcial.

El cas del rei Sol, Lluís XIV, va ser un autèntic paradigma, va imposar unes modes i una etiqueta que es va copiar a tota Europa. A Versalles hi havia unes regles precises de com s’havia de vestir la noblesa. Una novetat absoluta va ser la introducció del habit a la française (vestit com els francesos) que constava de tres peces : una jaqueta de cuir, una llarga peça a la cintura i uns pantalons curts fins el genoll. Una altra novetat amb el mateix èxit va ser la perruca masculina amb rínxols, aquesta feia més gran i estilitzava la silueta de qui la duia.

A finals del segle XVII es va inventar la corbata, al principi de muselina, ornamentada amb cercles, i que envoltava el coll. També les labors de puntes passaren de Venècia al món occidental.

Le corps de la jupe recouvre un corps baleiné rigide qui tombe plus bas que la taille. Le décolleté est en ovale. La dentelle de la chemise dépasse au niveau de ce décolleté. Ce col de lingerie ou de dentelle (voire de mousseline drapée) qui suit la forme ovale du corsage plutôt que d’entourer le cou est la seule innovation du costume féminin sous Louis XIV. Les manches de la chemise sont elles aussi visibles sous les manches de la robe. Un bijou peut être placé sur le devant du corps, bijou qui est appelé boute-en-train ou tâtez-y. Le corsage très serré donne un aspect guindé[9].

Dès 1680, le bas de jupe de dessous et le devant du corsage sont recouverts de passements, de broderies et de nœuds de ruban appelés galans. Le manteau, auparavant dit jupe de dessus ou robe, est relevé de chaque côté par des rubans. Le manteau se termine par une traîne dont la longueur à la cour est fonction du rang social. La jupe du dessous est en taffetas alors que le manteau est en étoffes damassées (tissu où sur l’endroit des motifs brillants apparaissent sur un fond mat et inversement sur l’envers du tissu) ou brochées (l’étoffe est tissé avec des fils de soie, d’or ou d’argent de façon à former des motifs en relief). Il y a d’abord une préférence pour les étoffes rayées et moirées et par la suite pour les ramages (décorations qui reproduisent des motifs de feuillages). Le costume de cour dispose de manches courtes d’où sortent les manches de la chemise ; les dentelles qui garnissent les manches sont parfois amovibles. À partir de 1672, on adopte les déshabillés pour l’été et l’hiver. Pour l’hiver, les femmes portent des mantelets et des manchons et les robes sont doublées de panne[9].

Les coiffures prennent de la hauteur : quand elles dégagent les oreilles, il est question de coiffure à l’effrontée (car elle permet d’entendre les propos coquins) ; cette élévation de la chevelure mènera à la mode de la perruque[7]. La mouche est en vogue.

Les jupes prennent de l’ampleur et à la fin du XVIIe siècle, la tournure est inventée afin de faire bouffer le manteau. Les brandebourgs sur les costumes féminins font leur apparition comme sur les costumes masculins[9].

Pagesa

Chemise de coton et lin, fichu d’indienne imprimé à la planche, jupon en piqué de coton, jupe en coton rayé, tablier en lin rayé avec deux poches en piqué de coton blanc, coiffe en toile agrémentée d’un bandeau de mousseline, capuche en drap de laine (reconstitution).

Camisa de cotó i lli, manteleta d’indiana estampada a la planxa, enagos de piqué de cotó, faldilles de cotó ratllat, davantal de lli ratllat amb dues butxaques de piquè de cotó blanc, còfia de tela adornada amb un bandóde musselina, caparutxa de teixit de llana.

L’habillement quotidien du monde rural était confectionné avec des matières économiques et résistantes. Les travaux des champs impliquaient le choix du coton, et du lin traditionnellement travaillé et tissé dans les campagnes roussillonnaises.

L’abillamant quotidià de la pagesia es confeccionava amb matèries barates i resistents. Les feines del camp implicaven la tria del cotó i del lli tradicionalment treballats i teixits a la campanya rossellonesa.

:un-d La indumentària dels personatges masculins

Chemise en lin et chanvre, ceinture en sergé de laine, culotte et veste cintrée de velours (reconstitution), bas de laine, espadrilles de cordes, mouchoir de cou en tissu imprimé, barretina longue (reconstitution).

Camisa de lli i cànem, faixa de sergé de llana, calces i jaqueta cenyida de vellut, mitges de llana, espardenyes d’espart, mocador de coll de teixit estampat, barretina llarga.

Très peu de changements entre le XVIIs. XVIIIe et le début du XIXe siècle caractérisent l’habit porté de manière générale par les hommes des zones rurales en Roussillon et dans l’ensemble de la Catalogne. On peut remarquer l’usage des guêtres et le port du bonnet catalan, la barretina.

Pocs canvis en l’abillament dels homes de la ruralia durant els segles XVII, XViiiI principis del XIX al Rosselló i en el conjunt de Catalunya. Es pot resaltar l’ús de les polaines i el del gorro català, la barretina.

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Un traginer

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:un-d Armes de l’època

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Escopeta catalana atrabucada

Fusell amb baineta

Trabuc

Daga

La fona

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fona

f. Instrument per a tirar pedres que consisteix en una tira curta d’una matèria flexible, especialment cuir, on es posa la pedra, unida en els seus extrems a dues trenes d’espart, de cànem, etc.

Com fer una fona ?

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http://www.mallorcaweb.net/foners/ferfona/00_ferfona.htm

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